Formations inédites de mai 2023 : les dernières tendances à ne pas manquer !





L’actu des formations – mai 2023


L’actu des formations – mai 2023

2697440-p1166m2234888-original.jpg © Par La rédaction de FNADIR, publié le 30 mai 2023

Actu entrepreneuriat Droit Hôtellerie-restauration

Des formations entre la poire et le fromage

La rentrée 2023 voit naître des formations, côté alimentation. Le campus de l’ENILBIO de Poligny, dans le Jura, ouvre sa formation de crémier-fromager en alternance sur un an, axé vente et conseil. Conditions requises pour l’intégrer : être titulaire d’un diplôme de niveau 3 ou 4 (type CAP, bac, etc).

Et pour celles et ceux qui sont plutôt dessert que fromage, l’école Ducasse lance, quant à elle, un cursus côté sucré : un CAP glacier, sur une période de huit mois, enseigné à l’École nationale supérieure de pâtisserie. Au programme : entremets glacés, glaces et sorbets, bases de la pâtisserie, desserts à l’assiette ou décors en sucre et chocolats, pour une rentrée tout en douceurs.

Un nouveau podcast en école de commerce

Au printemps, Skema fait rimer pop culture et questions de société en lançant son podcast « Makes Sense? ». L’objectif affiché est de rendre plus accessible le savoir scientifique produit par l’école de management et ce, à destination des étudiants, des professionnels en entreprise, mais aussi du grand public. Disponible sur les plateformes d’écoute, le premier épisode mêle l’univers Star Wars et l’expertise d’un prof de droit, en se demandant « Dark Vador aurait-il pu invoquer la légitime défense ? ». À vos écouteurs.

L’entrepreneuriat a le vent en poupe

Pour celles et ceux voulant développer leur fibre entrepreneuriale, l’Institut Mines-Télécom lance son concours. « Up To Start by IMT » permettra à 25 projets d’être accompagnés gratuitement dans l’un des 11 incubateurs des écoles de l’IMT. Conseils, mise en relation, tests, accès à des financements… L’école promet un soutien solide à ses lauréats. Conditions requises : être une start-up en phase de création ou créée depuis moins de 12 mois et en lien avec les transitions industrielle, numérique ou écologique.

Et comme il n’est pas toujours facile d’être étudiant et chef d’entreprise, Pépite France, le réseau des éudiants-entrepreneurs et l’Apec (Association pour l’emploi des cadres) signent un partenariat pour soutenir l’entrepreneuriat étudiant. L’objectif : accroître la notoriété du plan « Esprit d’Entreprendre » du ministère de l’Enseignement supérieur et renforcer l’accompagnement des porteurs de projets, notamment grâce aux réseaux des deux partenaires.

Le diplôme de droit se met au vert

À l’université catholique de Lille aussi, on s’intéresse aux transitions, notamment écologique, en proposant, dès la rentrée, un diplôme universitaire dédié au droit de l’environnement. Ce diplôme s’adresse à la fois aux étudiants et aux professionnels du droit qui souhaitent approfondir leurs connaissances en la matière, via des ateliers pratiques et des études de cas. Au programme : la maîtrise des enjeux environnementaux, de leurs répercussions juridiques et l’évolution du droit de l’environnement. Le format hybride de la formation (deux certificats universitaires, 72h chacun) permet de la suivre en parallèle de l’exercice d’une activité professionnelle.

Sciences po lance sa Maison des arts et de la création

L’établissement parisien approfondit sa dimension créatrice, artistique et analytique. Avec cette Maison des arts et de la création lancée en mars, Sciences Po espère innover dans les domaines de la formation en développant de nouvelles compétences créatrices mais aussi une recherche associant les sciences humaines et sociales et les arts. Des chaires d’artistes en résidence, un programme expérimental d’enseignement et un centre d’écriture et de rhétorique sont prévus, ainsi que des rencontres et des actions à l’extérieur de l’école, auprès de scolaires ou avec d’autres universités.

L’histoire des droits des femmes mise à l’honneur

Cinq ans après #MeToo, l’engouement et l’intérêt pour les droits des femmes ne faiblit pas. L’université d’Angers s’implique ainsi dans un projet de Musée des féminismes : Femuse. Si la première exposition devrait naître au printemps 2027, les projets sont déjà en cours : lancement d’un site internet, programmation d’expositions temporaires, création de l’Association pour un musée des féminismes… Les chantiers sont nombreux. Le musée sera étroitement connecté aux activités de formation de l’université, en lien avec les filières de lettres, langues sciences humaines, mais aussi d’histoire, culture ou tourisme.



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