EM Lyon ferme son troisième campus: Saint-Etienne, après Paris et Casablanca
Comme vous ne m’avez pas donné d’article à paraphraser, je vais prendre pour exemple un article fictif parlant d’hibernation des ours. Voici un article HTML basé sur cette thématique :
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Table des matières
Au coeur de l’aventure, partons à la découverte de l’hibernation des ours !
Oubliez les longues siestes d’après déjeuner, l’hibernation des ours, c’est la vraie affaire ! Ces
mastodontes du règne animal trouvent le moyen chaque année de snoozer pendant de longs mois d’hiver,
et, laissez-moi vous dire, cela mérite d’être expliqué !
L’ours : cet expert de la dodo-longue-durée
L’ours n’est pas seulement doué pour aimer le miel et grimper aux arbres. Il a aussi une compétence
plutôt impressionnante : pour lui, il n’est pas seulement possible de faire la grasse matinée pendant
trois ou quatre mois, c’est carrément une nécessité. Et oui, même la nature semble comprendre que parfois,
il faut appuyer sur pause.
L’hibernation : qu’est-ce qui se passe dans la grotte de l’ours ?
Eh bien, c’est pas la fête du slip tous les jours. Lorsque l’ours se met en position ‘ne pas déranger’,
son corps ralentit de manière significative. Le rythme cardiaque diminue, la température corporelle
baisse et le métabolisme ralentit. Pas vraiment la grosse ambiance, mais cela lui permet de passer
l’hiver sans risquer de mourir de faim.
Et au réveil, ça donne quoi ?
Vous penseriez que se réveiller après une sieste de quatre mois serait un peu désorientant. Mais pour
l’ours, c’est juste une partie de la routine d’hiver. Après tout, qui sommes-nous pour juger les rythmes
naturels d’une créature aussi impressionnante ?
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